va-two-nu a écrit:Comme déjà mentionné, une solution serait que les naturistes soient les gérants des installations, et qu'elles soient accessibles de façon continue. Mais cela réglerait la moitié du problème: Comme pour les centres l'été, il y aurait vite un (nouveau) plafond/palier d'atteint, et puis encore de la stagnation!? Il faudrait des investissements "à haut risque".
Sur l'un des autres forums naturistes québécois, inspirés par le temps froid, une question de type "sondage" sans option a été lancée : À quoi ressemblerait un coin réservé aux naturistes, ouvert à l'année ?
On a regardé ce qu'il s'est fait autour de nous : Le domaine de l'Éden à St-Lin Laurentides est devenu un cauchemar depuis 2007. J'assume que nos hôtes au Spa à l'Assomption sont naturistes (ou naturistes-friendly). Il existe quelques auberges, B&B et campings pour hommes seulement ou visant les hommes gai. Dans la majorité de nos centres naturistes, il est impossible d'y avoir sa résidence permanente, dans une maison conçue et pensée pour nos hivers québécois, payer ses taxes municipales et avoir droit de vote, ce qui est une chose possible sur certains campings textiles (Ste-Agathe me vient à l'esprit)...
Il existe des centres naturistes ouverts à l'année dans des climats moins froids comme le sud de la France ou l'Espagne. Mais nos maudits hivers frette...
Et si l'entrée de nos centres naturistes étaient situées plus près des routes principales, pourraient-elle trouver d'autres revenus en fournissant des services hivernaux comme un arrêt-relais pour camionneurs, ou un service hôtellier ?
Puis on a regardé ce qui pousse comme des champignons quand on se promène en ville : Des projets de condos, des complexes immobiliers équipés d'une piscine intérieure, d'une salle d'entraînement, salle de jeux pour enfants, salle communautaire, un dépanneur, un resto, buanderie... Tiens, une idée de fou : Un entrepreneur pourrait faire construire un complexe immobilier semblable (appartements ou condos) avec services, géothermie, éco-responsable (ex: panneaux solaires) et tout, mais conçu pour des occupants qui doivent être naturistes (ainsi que leurs visiteurs).
Puis on s'est regardé le nombril : Qui aurait de l'argent pour réaliser un tel projet ? Personnellement à ma retraite, je prendrais mon magot et sacrerait mon camp hors du Québec, là où il serait possible de vivre nu à l'année...